Brest toujours, ou plus exactement brest la permanence. brest ne laisse pas indifférent, on aime ou on aime pas. ou alors pour un individu comme louis gildas, cê¼est plus compliqué. dê¼abord il décrit une ville du passé, une ville grise et par certains côtés désespérée et joyeuse, une ville cultivant lê¼oxymore. des souvenirs dê¼une ville éborgnée, reconstruite dans un style que ne renieraient les architectes soviétiques de lê¼ère stalinienne. aujourdê¼hui la ville a bougé, elle sê¼est colorée, sê¼est souvenue quê¼elle était ville maritime. tout cela nê¼existait pas en ces années 50 et 70. on sê¼embarque pour cette ville alors que le boomers, comme on dit aujourdê¼hui, vivaient leurs jeunes années.